La haine de tous contre tous, jusqu’où ?
Les haines, les oppositions identitaires, qu’elles soient de classe, de sexe, de religion, d’origine sont une politique. Une funeste politique quand elles deviennent la seule lecture d’une société.
Non pas enfouir les colères, mais les transformer, les socialiser, les républicaniser, les articuler à l’émancipation.
Est-ce encore possible ? Je l’espère. Ne pas s’y atteler revient à les laisser à la dérive. Jusqu’où ?