Ségolène Royal, le prix à payer 25 juin2007
Première remarque : on a bien compris que le mot d’ordre dans les hautes sphères du parti socialiste était : tout sauf Ségolène. On a compris aussi que tous les moyens allaient être utilisés pour la liquider et que tous les coups étaient permis (d’ailleurs, cela ne fait que confirmer ce que l’on avait compris dès le 6 mai au soir, comme je l’ai indiqué dans un texte précédent de ce bloc-notes.) On conçoit dès lors que Ségolène Royal n’ait pas eu envie d’assister, au conseil national du PS, à son lynchage programmé. Je pense néanmoins qu’elle aurait dû participer à la...
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